Mon cerveau, je n'y vois que pénombre,
Vestiges, embrumes, décombres... J'en dénombre !
Comme sous une lumière tamisée,
Ma vision n'est que martyrisée,
L'ombre d'un espoir, j'y aspire,
Désespoir, rancœur s'y inspirent,
O subconscient, manifeste toi, éclaire moi !
L'avocat du diable m'avait tenu en émoi,
Que diable était-ce l'âge des mûrs ?
Réponses et illuminations se turent,
Fomentai-je donc, une fougue ardente,
Morphée m'avait d'ores et déjà offert ses mains brûlantes,
M'étais-je donc dit: Pour quand le commencement ?
Supposai-je, les calendes grecques comme état d'avancement,
Se lover donc sur son sort et se morfondre joie et gaieté,
De quoi grignoter les pépites de l'insomnie à satiété
Très Belles paroles !
RépondreSupprimerLove it , So wonderful <3
RépondreSupprimerChapeau bas !
RépondreSupprimerTrès bien rimé, de belles paroles.. Congrat bro. Bonne continuation :d
RépondreSupprimerMon sang .. MON SANG S'EXPRIME AUSSI !!!
RépondreSupprimerMerci bien les amis :)
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RépondreSupprimerTOOOOP! continuue!
RépondreSupprimerQue de belles paroles!!
RépondreSupprimerBon courage mon Adorable écrivain :)